Vidéo: Voici des réalisateurs qui touchent plus d’un million dans le cinéma camerounais.

Qui peuvent s’asseoir et dire voilà désormais voilà comment: ça, marche voilà comment: ça fonctionne et les pouvoirs publics prennent le pas ce n’est pas faute d’avoir essayé, il ya eu il parce que je sais que: c’est là qu’elle gelait georges exempt pourquoi vous ne le faites pas Oui alors, je veux dire il ya eu beaucoup d’initiatives dans ce sens et de toutes ces initiatives, il ya quand même lyall en afrique mais, je voulais, dire qui est quand même là le ciné faille qui, a résisté jusque aujourd’hui avec que la nouvelle présidente qui qu’il En est, revenu la brenda, donc il ya énormément d’initiatives la nafeek, l’a fait capable au cas par le clap à chaque fois; c’est des professionnels qui sont assez, ils, ont, dit, ok, ça y est on organise les métiers désormais on met les règles on met les règles En place on dit pour être réalisateur ou pour avoir la carte des organisateurs, il faut avoir fait çà çà çà çà pour pour lorsque vous êtes réalisateur deux catégories le 1er catégorie de deuxième, catégorie 3e catégorie le cacher peut être ça; c’est, bon comme d’habitude dans les Camps: mais très généralement s’asseyent pour des travaux comme ça après, c’est d’ailleurs, d’une guerre de leadership, après c et puis à chaque fois ces projets là, c’est le projet l’atome dans l’eau; c’est pour ça que vraiment il faut tirer un coup de chapeau aux camerounais au signal De la zone anglophone oui, c’est vrai que de plus en plus ça, c’est paris, est là n’existait plus à se tourner partout mais, c’est des gens qui ont quand même pris la peine de s’organiser avec le cameroun le cameroun, film industrie, oui, qui, fonctionne, très bien qui.

Fait des choses merveilleuses et qui donne des résultats, à la preuve, vous voyez, jusqu’aujourd’hui tous les films, la zone anglophone qui sont, soit, vendus, sur, un flic soit qui tourne dans les grands festivals à travers le monde mais les pouvoirs compris initiatives, récemment sur la gestion des Associations, culturelles qui, a été une décision un projet de loi, qui est passé à l’assemblée qui était très contesté par les cinéastes qui était disait qu’on les a pas consultés et ce qui était vrai aussi donc, il ya vraiment un flou, il ya un flou qui résident Et qui fait que du coup dans ce flou le producteur est obligé ou alors il choisit du pays, qui veut maintenant lever le montant qu’il veut et voilà, si tu négocies bien tu as un bon cash et se négocie mal tu n’as pas mais de plus, en Plus les cachets monte oui il ya des réalisateurs qui perçoivent, en termes de millions pour réaliser soit un long métrage soit un court métrage au cameroun, qui, perçoit diallo, millions pour les lots bien, sûr bien sûr, bien sûr posé la question à salem qui a voulu dire D’Accord, je vous vois venir